Dans un article fort éclairant intitulé Se soucier du bien-être animal : oui, mais jusqu’à quel point ? et publié dans la section “Analyses” de l’Institut d’Éco-Pédagogie de Belgique, Christine Partoune démêle les motifs du mouvement radical de défense de la cause animale. Ce texte permet aux acteur.rices du secteur de l’Éducation relative à l’Environnement de saisir avec plus d’acuité les termes de leurs revendications, et de se positionner plus aisément sur le sujet.
“Etes-vous spéciste ou antispéciste ? Là est la question ! La révision du Code du bien-être animal pour la Wallonie ne cesse d’attiser la polémique et a mis en lumière avec plus d’acuité l’existence d’un mouvement radical de défense de la cause animale qui rallie de plus en plus de personnes partisanes de l’antispécisme. Pour les antispécistes, les considérations éthiques ne se limitent pas seulement à la question de la souffrance animale. Ils en appellent à une reconnaissance intrinsèque de l’égalité entre toutes les espèces animales, récusent la supériorité de l’homme sur les autres espèces et condamnent le pouvoir absolu qu’il s’est octroyé sur elles.”
Pour lire le reste de l’article ou pour consulter les analyses de l’Institut d’Éco-Pédagogie.
Notice complète : Partoune, C., « Se soucier du bien-être animal : oui, mais jusqu’à quel point ? », in ‘‘Analyses’’, Productions de l’Institut d’Éco-Pédagogie (IEP), Juin 2019.