Extrait d’un article paru dans le journal Le Devoir du 9 avril 2018 :
« Mais les plastiques des hôpitaux participants sont maintenant réduits en granules, revendus et réutilisés. Ils servent par exemple à refaire d’autres contenants de plastique. Une entreprise est aussi en train de développer un concept de mobilier urbain en béton léger qui intègre jusqu’à 50 % de granules recyclés. On sait que nos plastiques ont vraiment une fin de vie utile, indique Mme Robitaille. Il ne s’agit pas juste de les mettre dans un bac sans savoir ce qu’ils deviennent. Parce qu’on veut s’assurer que nos gestes portent leurs fruits. »
“Pour moi, ça n’avait pas de sens avec la mission d’un établissement de santé. On soigne des gens, puis, d’un autre côté, on pollue l’environnement et ça a un impact sur leur santé”, a déclaré Nathalie Robitaille, en entrevue.