Maia Morel, professeure agrégée en didactique des arts visuels à l’Université de Sherbrooke et chercheuse membre du Centr’ERE, a dirigé avec deux de ses collègues la production de l’ouvrage « Penser la Covid-19, et penser le monde. Réflexion critique sur les effets de la pandémie du printemps 2020 ».
Ce collectif comporte des textes de divers horizons dont des articles du domaine de l’éducation.
Lucie Sauvé, professeure émérite au département de didactique de l’UQAM et membre fondatrice du Centr’ERE, en signe la préface.
Résumé
Penser. Communiquer. Travailler. Vivre. Telles sont les quatre sections dans lesquelles ont été répartis les textes qui composent le présent livre.
Penser, parce que ce fut le premier défi à relever face à l’intrusion dans nos vies de la COVID-19 et qu’il nous aura fallu mobiliser toutes nos capacités d’analyse pour tenter d’en tirer une leçon.
Communiquer, parce que c’est lorsque les temps sont incertains que se fait le plus sentir le besoin de certitude et de réconfort et que jamais ne sont apparus aussi clairement les enjeux de présentation et de diffusion de l’information.
Travailler, parce que la pandémie a bouleversé notre environnement économique et qu’elle nous a contraints à revoir entièrement l’idée même que nous nous faisions de notre travail.
Vivre, enfin, parce que, quel que soit l’avenir de la pandémie de la COVID-19, elle nous aura changés et aura laissé en nous des traces profondes, des blessures, parfois, que le temps seul ne suffira pas à effacer.
Le projet de livre est né en mars 2020. Soixante-et-onze propositions en provenance de dix-huit pays ont été soumises au comité du livre. Quinze textes, signés par trente-et-un auteurs, sont présentés ici. Que tous ceux qui ont participé à cette entreprise en soient remerciés.
Notice complète : Morel, Maia, Bergeron, Réal et Willis, Louis-Paul, Penser la COVID-19, et penser le monde: réflexion critique sur les effets de la pandémie du printemps 2020, s. l., 2021.