Perspectives critique sur l’identité et l’engagement
Anik Meunier, professeure, Université du Québec à Montréal
Charlène Bélanger, doctorante en éducation, Université du Québec à Montréal
Résumé
Dans la société éducative, l’école ne détient pas le monopole de l’éducation. Elle fait partie intégrante d’une plus vaste infrastructure comprenant également des contextes d’éducation non formelle, parmi lesquels se trouvent les musées, parcs naturels et sites patrimoniaux. Associée au concept anglo-saxon de « informal education », l’éducation non formelle comprend, d’une manière ouverte, toutes formes d’activités éducatives réalisées par des institutions ou des acteurs œuvrant à l’extérieur du système scolaire officiel. Si les premières connaissances sur l’apprentissage en contexte d’éducation non formelle ont été influencées par les théories béhavioristes, les recherches des vingt dernières années se sont structurées autour de quatre grands axes théoriques : apprentissage expérientiel, constructivisme, théorie socioculturelle et théorie critique.
Bibliographie commentée
Présentation de l’analyse critique