Jean Robitaille, conseiller au mouvement des Écoles vertes Brundtland, reçoit un prix en Éducation relative à l’environnement au niveau international

RTEmagicC EECOM - 1 01 jpgLe Réseau canadien d’éducation et de communication relatives à l’environnement (EECOM) a remis, en juin dernier, le prix Excellence en éducation relative à l’environnement au niveau international à Jean Robitaille, conseiller aux Écoles vertes Brundtland de la Centrale des syndicats du Québec (EVB-CSQ) , organisation partenaire du Centr’ERE. Par ce prix, EECOM souhaitait souligner sa contribution exceptionnelle à la formation des enseignantes et enseignants de la Guinée-Bissau, de la Tunisie, du Maroc, du Niger, du Burkina Faso et du Mali.

L’organisme désirait également souligner la production de guides didactiques et pédagogiques, adaptés à la réalité de chacun de ces pays. Tous ces projets ont été réalisés avec succès grâce à la ténacité, à la détermination et à la persévérance de Jean Robitaille. Félicitations !

 

Événement public : hydrocarbures, oléoducs et hydroélectricité : pour qui, pour quoi et à quel coût ?

 

Le Comité pour les droits humains en Amérique latine (CDHAL), en collaboration avec le Centre de recherche en éducation et formation relatives à l’environnement et à l’écocitoyenneté (Centr’ERE), vous invite au premier événement public de la campagne « Énergie pour qui et pour quoi ?  Une analyse critique de notre modèle énergétique ». Lucie Sauvé interviendra à la fin de l’événement.

Avec la collaboration de divers mouvements sociaux et environnementaux, les participants seront invités à discuter de notre modèle énergétique lors de cette rencontre. Plusieurs questions seront abordées, telles que celles-ci : quels sont les impacts  socio-environnementaux de notre modèle énergétique? À quels intérêts répond ce modèle? Qui sont les « affecté.e.s »? Où vont les bénéfices? Qui profite de ce modèle ?  Va-t-on dans la bonne direction?

L’événement aura lieu le 16 janvier 2014 à 18h00 à l’UQÀM, Salle A-M204 (Bilbiothèque centrale, Pavillon Hubert-Aquin, 400 rue Sainte-Catherine Est).

Bienvenue à tous et toutes !

 

Le Centr’ERE accueille deux nouveaux partenaires majeurs

Le Centr’ERE a récemment officialisé le partenariat majeur avec Les amis de la montagne (Montréal) et l’Institut de formation et de recherche en éducation à l’environnement (IFRÉE) (France).

Ces nouveaux partenariats favoriseront le développement d’une recherche ancrée dans l’interaction sociale, en milieu formel et non-formel. Ils permettront de valoriser mutuellement les travaux et les productions des partenaires et du Centr’ERE, et d’ouvrir des perspectives de collaboration, dont le développement d’activités de recherches conjointes en lien avec les objectifs du Centr’ERE.

mont royal 47Les amis de la montagne

Les amis de la montagne ont pour mission de protéger et mettre en valeur le mont Royal en privilégiant l’engagement de la communauté et l’éducation à l’environnement.

Organisme de bienfaisance enregistré fondé en 1986, Les amis de la montagne rassemblent des individus, des associations, des chefs de file de la communauté et des dirigeants de fondations à caractère philanthropique. Tous partagent une même passion : protéger et mettre en valeur le mont Royal.

À travers leurs initiatives pour la défense des intérêts, leurs activités d’éducation et de sensibilisation et leurs projets d’amélioration et de mise en valeur, Les amis de la montagne offrent à la communauté l’occasion de s’exprimer et de prendre part à la préservation du mont Royal. 

 

logo-IfreeL’Institut de formation et de recherche en éducation à l’environnement (IFRÉE)

L’Institut de formation et de recherche en éducation à l’environnement a pour objet de favoriser la mise en place d’une plus grande implication citoyenne par l’éducation à l’environnement dans une perspective de développement durable et de promouvoir une « culture environnementale partagée » pour tous les acteurs économiques, sociaux et culturels.

L’IFRÉE se place au service de la démocratie participative et de l’aide à la décision.

Le Centr’ERE accueille un nouveau stagiaire doctoral, M. Jorge Félix Placeres Alonso

jfL’équipe du Centr’ERE est heureuse d’accueillir dans les prochains mois M. Jorge Félix Placeres Alonso, Professeur de la Faculté de Sciences sociales et humaines de l’Université agraire de La Havane (Cuba). M. Placeres Alonso a reçu une bourse du gouvernement canadien (programme Futurs leaders des Amériques) afin d’effectuer un stage d’études doctorales de 5 mois (mi janvier à la mi juin 2014) sous la supervision de Mme Sylvie Jochems, professeure à l’École de travail social et chercheure au CentrERE. M. Placeres Alonso s’intéresse aux rapports Université-collectivités particulièrement dans la province de Mayabeque de Cuba. Nous lui souhaitons la bienvenue!

 

Quelques places encore disponibles pour janvier : Éducation, environnement, citoyenneté | Microprogramme 2e cycle | UQAM

 

Un microprogramme de formation destinée à toute personne préoccupée par l’intégration des questions d’environnement, d’éducation et de citoyenneté.

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Possibilité d’inscription « à la carte ».
Cours offerts sur le campus ou à distance.

L’admission au programme pour la session hiver 2014 se termine officiellement le 1er décembre 2013, mais il est possible d’être admis au-delà de cette date. Il vous faudra alors obtenir l’accord préalable de la direction du programme.

Vous pouvez communiquer directement avec Tom Berryman, responsable du programme :
berryman.thomas@uqam.ca 

 


 

Dans le contexte social actuel en faveur du « bien commun », de l’identité écologique, de l’équité socio-écologique, de l’engagement et de la recherche d’alternatives aux modes de développement, ce programme invite l’étudiant à explorer les dimensions critique, éthique et politique d’une éducation centrée sur le rapport à l’environnement en examinant notamment son importance et sa signification pour le développement humain et les transformations sociales.


Particularités du programme :

  • La formation se déroule sur le campus de l’UQAM ou à distance ;
  • D’une durée d’un an à temps partiel (trois cours – neuf crédits), le programme mène à une attestation d’études supérieures en éducation relative à l’environnement ;
  • Les étudiants peuvent être admis sur la base d’études universitaires ou d’une expérience pertinente ;
  • Les cours sont offerts sur trois trimestres, de janvier à décembre ;
  • Les cours peuvent être reconnus entre autres à la maîtrise et au doctorat en éducation et à la maîtrise en sciences de l’environnement ;
  • Durant leur parcours de formation, les étudiants ont la possibilité de réaliser un projet dans leur propre contexte d’action éducative.

Cette formation est destinée à toute personne préoccupée par l’intégration des questions d’environnement, d’éducation et de citoyenneté. Elle est axée sur le développement de compétences en matière de conception, d’animation et de gestion de projets en éducation et en formation relatives à l’environnement dans différents milieux d’intervention : à l’école, en milieu communautaire, en entreprise, dans les médias, les parcs, les musées, les centres d’interprétation, en contexte de coopération internationale, etc.

L’admission au programme pour la session hiver 2014 se termine officiellement le 1er décembre 2013. Vous pourrez toutefois être admis au-delà de cette date. Il vous faudra alors obtenir l’accord préalable de la direction du programme.

Début des cours en janvier
 
Information
514 987-3000, poste 6749
ere@uqam.ca

www.ere.uqam.ca

5 novembre 2013 – Conférence : « L’écodéveloppement et le vivir bien en Bolivie»

Conférence : « L’écodéveloppement et le vivir bien dans le contexte autochtone de la région de Pando en Bolivie »

Mardi 5 novembre 2013 – 18:00 à 19:30
UQAM – Pavillon Paul-Gérin-Lajoie (N)

N-3745 1205, rue Saint-Denis Montréal, QC Canada
514 987-3000
Site Web | Itinéraire et carte

Prix
Entrée libre

Contact
Félix Paré ere@uqam.ca

52697617f1437La conférence sera prononcée par Jorge Azad, professeur à la Universidad Amazónica de Pando et doctorant en sciences de l’environnement de l’UQAM.

Ecominga est un projet de coopération internationale qui s’est déroulé de 2007 à 2013 avec le but de contribuer à l’écodéveloppement des communautés de l’Amazonie bolivienne, notamment en ce qui a trait à la promotion de la santé environnementale et en portant une attention particulière à l’eau et à l’alimentation. Ce projet a associé l’UQAM à trois universités de l’Amazonie bolivienne. Ensemble, les quatre équipes universitaires ont développé un programme de formation destiné aux leaders communautaires, en privilégiant la participation des femmes et des autochtones.

La conférence sera précédée du lancement du Rapport final du projet Ecominga Amazónica; une brève synthèse du processus et des résultats sera présentée. Un vin d’honneur clôturera l’événement.

Événement organisé par le Centre de recherche en éducation et formation relatives à l’environnement et à l’écocitoyenneté | Centr’ERE – UQAM

Microprogramme en environnement, éducation et citoyenneté – Admission dès maintenant

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Un microprogramme de formation destinée à toute personne préoccupée par l’intégration des questions d’environnement, d’éducation et de citoyenneté.

 

Admission dès maintenant.
Possibilité d’inscription «à la carte». 
Cours offerts sur le campus ou à distance.

Pour faire une demande d’admission, cliquez ici.

Dans le contexte social actuel en faveur du « bien commun », de l’identité écologique, de l’équité socio-écologique, de l’engagement et de la recherche d’alternatives aux modes de développement, ce programme invite l’étudiant à explorer les dimensions critique, éthique et politique d’une éducation centrée sur le rapport à l’environnement en examinant notamment son importance et sa signification pour le développement humain et les transformations sociales.
Particularités du programme :

  • La formation se déroule sur le campus de l’UQAM ou à distance ;
  • D’une durée d’un an à temps partiel (trois cours – neuf crédits), le programme mène à une attestation d’études supérieures en éducation relative à l’environnement ;
  • Les étudiants peuvent être admis sur la base d’études universitaires ou d’une expérience pertinente ;
  • Les cours sont offerts sur trois trimestres, de janvier à décembre ;
  • Les cours peuvent être reconnus entre autres à la maîtrise et au doctorat en éducation et à la maîtrise en sciences de l’environnement ;
  • Durant leur parcours de formation, les étudiants ont la possibilité de réaliser un projet dans leur propre contexte d’action éducative.

Cette formation est destinée à toute personne préoccupée par l’intégration des questions d’environnement, d’éducation et de citoyenneté. Elle est axée sur le développement de compétences en matière de conception, d’animation et de gestion de projets en éducation et en formation relatives à l’environnement dans différents milieux d’intervention : à l’école, en milieu communautaire, en entreprise, dans les médias, les parcs, les musées, les centres d’interprétation, en contexte de coopération internationale, etc.

Date limite d’admission
1er décembre
Début des cours en janvier

Information
514 987-3000, poste 6749
ere@uqam.ca
www.ere.uqam.ca

Nature, enfants et curriculum : Lidia Guennaoui présente une communication à la Conférence 2013 du Réseau canadien d’éducation et de communication relatives à l’environnement

27 juin 2013

 

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Nature, enfants et curriculum : Lidia Guennaoui présente une communication au Conférence 2013 du Réseau canadien d’éducation et de communication relatives à l’environnement (EECOM.

Dans le cadre de la Conférence 2013 du Réseau canadien d’éducation et de communication relatives à l’environnement (EECOM), qui a eu lieu du 26 au 30 juin 2013 à Victoria, Lidia Guennaoui a présenté une communication intitulée « Nature, Children & Curriculum : Retrospective and Prospective on Forces Framing Worldviews & Shaping the World ».

Cette communication s’inscrit dans le cadre du projet « Continuités, ruptures et transformations dans les représentations de l’être humain et de la nature dans l’histoire de l’éducation au Québec : une recherche exploratoire sur l’éducation primaire », dirigé par Tom Berryman, professeur à l’UQAM et membre chercheur régulier du Centr’ERE. Ce projet de recherche est soutenu par le PAFARC et le FQRSC.

Étienne Van Steenberghe, Nayla Naoufal et Marie-Ève Marleau reçoivent le prix Lucie Samson-Turcotte en éducation relative à l’environnement

Trois membres du Centr’ERE ont reçu récemment une mention d’honneur de l’UQAM en reconnaissance de l’excellence de leurs résultats académiques. Ils ont également reçu le Prix Lucie-Samson-Turcotte en éducation relative à l’environnement, décerné par la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université Laval, sous la responsabilité de Barbara Bader, titulaire de la Chaire de leadership en enseignement des sciences et développement durable.

 

Étienne Van Steenberghe, chercheur associé au Centr’ERE, a reçu le prix pour sa thèse de doctorat intitulée « Les représentations sociales des liens entre la santé et l’environnement. Vers des pratiques éducatives appropriées en matière de santé environnementale auprès de populations défavorisées en milieu urbain ». Les membres du jury ont souligné la très grande qualité de cette thèse et l’importance accordée à la parole des personnes défavorisées, mise en scène de manière respectueuse, avec délicatesse et intelligence. L’extrait suivant, provenant d’un des membres, illustre d’autres aspects remarquables de la thèse :

« Le cadre conceptuel et la méthodologie conduisent à une conceptualisation nuancée, ancrée dans les savoirs d’expérience, authentiques, qui éclaire les liens que ces sujets tissent entre des considérations sociales, environnementales et de santé, qui leur sont particulières. Il s’agit d’un projet original et authentique et d’une très grande pertinence sociale ».

Nayla Naoufal a également remporté le prix Le prix Lucie-Samson-Turcotte 2013 pour une thèse de doctorat (ex aequo) pour sa thèse intitulée « La contribution de l’éducation relative à l’environnement à la construction d’une dynamique de paix ».

Les membres du jury ont tenu à en souligner le caractère exceptionnel de cette thèse par l’originalité et la très grande pertinence sociale du sujet traité, tout en notant la richesse conceptuelle et empirique du travail qui a été mené. En ces temps de multiplication des conflits dans le monde, proposer un cadre conceptuel permettant des rapprochements entre l’éducation relative à l’environnement et l’éducation à la paix, définir les fondements et les pratiques de l’éducation relative à l’environnement qui renforceraient des processus et des «dynamiques de paix» et en préciser notamment les dimensions identitaires, constitue une avancée théorique importante.

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Quant au Prix Lucie-Samson-Turcotte 2013 pour un mémoire de maîtrise, il a été remis à Marie-Ève Marleau pour sa recherche intitulée « Les processus de prise de conscience et d’action environnementales : le cas d’un groupe d’enseignants en formation en éducation relative à l’environnement ». Afin d’illustrer plus avant la qualité de ce mémoire, voici un extrait de l’évaluation faite par un des membres du jury :

« La première qualité de ce mémoire est sa richesse théorique qui témoigne d’une maîtrise de la documentation consultée ainsi que d’une capacité à articuler divers concepts parfois éclairés par des champs différents. Les synthèses qui en résultent ont une excellente valeur scientifique. Il s’agit donc d’un mémoire de maîtrise de haut calibre. La consultation de sources documentaires en trois langues apporte une richesse particulière à ce projet et à l’étude de cas réalisée au Mexique. Sa pertinence scientifique, sociale et environnementale est grande. En effet, si être conscient des problématiques sans que cette conscientisation soit accompagnée d’un agir pro-environnemental est bien documenté sur le plan scientifique, le fossé qui sépare « la conscience environnementale » de « l’action environnementale » a été peu explorée. Or Madame Marleau propose des éléments d’arrimage entre ces deux concepts, sa contribution au champ de l’éducation relative à l’environnement est donc très importante.»

Soulignons par ailleurs que les deux récipiendaires du Prix pour le doctorat ont réalisé leur recherche sous la direction de Lucie Sauvé, directrice du Centr’ERE. La recherche de Marie-Ève Marleau a été dirigée par Isabel Orellana, membre du comité de direction du Centr’ERE. Mentionnons enfin l’importante contribution de Barbara Bader, membre également du Comité de direction du Centr’ERE, qui a piloté le processus d’octroi et de remise du prix Lucie Samson-Turcotte 2013.

 


À propos de la remise des Prix Lucie-Samson-Turcotte 2013

Pour honorer la mémoire de la professeure Lucie Samson-Turcotte qui a marqué le domaine de l’éducation relative à l’environnement au Québec, la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université Laval a créé à l’automne 1992, un prix visant à récompenser les mémoires de maîtrise et les thèses de doctorat de qualité qui contribuent de manière remarquable à l’avancement de l’éducation relative à l’environnement. En 2013, c’est dans le cadre de l’École d’été en Éducation à l’environnement et développement durable qui s’est tenue pour une quatrième année consécutive à l’Université Laval que ce prix a pu être remis.

Cliquez ici pour plus de détails.

 

Références

Nayla Naoufal (2012). La contribution de l’éducation relative à l’environnement à la construction d’une dynamique de paix. Doctorat en Sciences de l’environnement, Université du Québec à Montréal (UQAM) – mention Excellent.

Étienne van Steenberghe (2012). Les représentations sociales des liens entre la santé et l’environnement. Vers des pratiques éducatives appropriées en matière de santé environnementale auprès de populations défavorisées en milieu urbain. Doctorat en Éducation, Université du Québec à Montréal (UQAM).

Marie-Ève Marleau (2011). Les processus de prise de conscience et d’action environnementales : le cas d’un groupe d’enseignants en formation en éducation relative à l’environnement. Maîtrise en Éducation. Université du Québec à Montréal (UQAM).

Conférence – savoirs et environnement : enjeux epistémologiques, éthiques et stratégiques

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Le jeudi 26 septembre, à 13h30, au Hall du pavillon SB (SB-RK01), 141, avenue du Président-Kennedy, aura lieu la conférence «Savoirs et environnement : enjeux epistémologiques, éthiques et stratégiques» présentée par Lucie Sauvé.

Lucie Sauvé est professeure titulaire au département de didactique de l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Elle est également directrice du Centre de recherche en éducation et formation relatives à l’environnement et à l’écocitoyenneté (Centr’ERE), membre de l’Institut des sciences de l’environnement de l’UQAM. Elle est chercheure associée au réseau DIALOG sur les questions autochtones. Elle dirige la revue internationale Éducation relative à l’environnement – Regards, Recherches, Réflexions. Elle est co-fondatrice et membre de l’équipe du Programme court de 2e cycle en éducation relative à l’environnement de l’UQAM. Ses principaux domaines de spécialisation ont trait à l’éducation relative à la santé environnementale, l’éducation scientifique, l’éducation à l’écodéveloppement, les enjeux de la formation des éducateurs et de la participation communautaire en matière d’environnement. Depuis quinze ans, Lucie Sauvé dirige d’importants projets de coopération internationale en Amérique latine.