Appel aux étudiant·es de l’UQAM | Atelier sur l’éducation à la transition écologique et sociale organisée par TJC et la FNEEQ | Mardi 8 avril 2025

Un atelier sur l’éducation pour la transition écologique et sociale sera offert aux étudiant⸱es de l’UQAM le Mardi 8 avril de 13h30 à 17h, dans la salle N-M350 du Pavillon N – Paul-Gérin-Lajoie (1205 rue Saint-Denis). 

Cet atelier aborde avec un angle critique et systémique la crise socioécologique et le rôle de l’éducation formelle dans la transition. Il est organisé dans le cadre de la préparation des États généraux de l’éducation pour la transition écologique et socialequi se tiendront en janvier 2026 et que Garance Malivel, collaboratrice du Centr’ERE, coordonne avec l’OBNL Travailleuses et Travailleurs pour la justice climatique (TJC), la FNEEQ, et de nombreux partenaires notamment Uqamiens.

Cet atelier propose aux participant⸱es d’envisager les transformations du système d’éducation québécois nécessaires pour soutenir une transition pérenne et juste, et de contribuer à définir les enjeux prioritaires qui seront abordés lors des États généraux. 

Les inscriptions et la description détaillée du projet sont accessibles via ce formulaire.

Vous trouverez plus de détails sur la programmation aux liens suivants :

Programme Atelier [PDF]

Toutes les disciplines sont les bienvenues pour participer à cette réflexion! 

Un atelier destiné aux profs et aux chargé⸱es de cours de l’UQAM sera également organisé au printemps, et la campagne des ateliers continuera à se déployer dans différents cégeps et universités jusqu’en octobre.

Pour plus d’informations, contactez Garance Malivel : gmalivel@justiceclimatique.org

Félicitations à Mélanie Champoux et à l’équipe du Collectif ÉCO-LIER qui remportent le Prix de reconnaissance de la qualité de l’enseignement Françoise Breton | 19 février 2025

Mélanie Champoux, professeure au Département de didactique de l’UQAM et chercheuse régulière au Centr’ERE, ainsi que l’équipe du Collectif ÉCO-LIER ont été sélectionnés pour le Prix de reconnaissance de la qualité de l’enseignement Françoise Breton – équipe, décerné par la Faculté d’éducation de l’Université de Sherbrooke.

Le comité de direction facultaire a reconnu leur engagement remarquable dans la formation à travers la mise en commun de leurs expertises disciplinaires variées au service de la réussite étudiante. L’approche culturelle, écologique et interdisciplinaire de l’enseignement mise de l’avant par le Collectif ÉCO-LIER constitue une innovation pédagogique remarquable et inspirante pour les futures personnes enseignantes.

Lire l’article du comité sur le Collectif ÉCO-LIER

Lire l’article sur la 15e Cérémonie de reconnaissance de la qualité de l’enseignement

Inscrivez-vous au cours ENV7802 – Humanités environnementales: contributions à l’étude des relations entre l’être humain, la société et la nature | Inscription jusqu’au 2 mai 2025

La période d’inscription du trimestre d’été 2025 est maintenant ouverte !

Inscrivez-vous sans tarder en tant qu’étudiant·e libre au cours ENV7802 – Humanités environnementales: contributions à l’étude des relations entre l’être humain, la société et la nature

Inscrivez-vous en écrivant à l’agente d’études Eveline Pilon : programme.ere@uqam.ca

Ces cours sont associés au Programme court de deuxième cycle en éducation relative à l’environnement

Le cours ENV7802 – Humanités environnementales : contributions à l’étude des relations entre l’être humain, la société et la nature (du 28 avril au 19 juin : deux rencontres par semaine) s’attarde aux diverses formes de rapports sociaux et culturels à l’environnement, et aux approches et pratiques du domaine des humanités environnementales qui permettent de mieux les comprendre.  

programme-court-ere

Forum sur l’intégration de l’écoresponsabilité dans les parcours académiques : enjeux et perspectives | 21 février 2025

Prenez part à une demi-journée de présentations et d’atelier pour réfléchir aux approches permettant d’intégrer l’écoresponsabilité dans vos activités d’enseignement.

Pour qui ? Les membres de la communauté de l’UQAM

  • Les personnes professeures
  • Les personnes chargées de cours
  • Les personnes cadres
  • Les personnes employées
  • La communauté étudiante

Programme

1. Mot et discours d’ouverture

  • Lucie Sauvé, professeure émérite, cofondatrice du Centr’ERE
  • Louise Collignon, directrice écoresponsabilité, vice-rectorat au Développement humain et organisationnel

2. Présentations

2.1 Situer les activités d’enseignement dans le contexte socioécologique

  • Mélanie Champoux, professeure, Département de didactique
  • Hugue Asselin, coordonnateur, Centr’ERE

2.2 Varier les approches d’intégration

  • Geneviève Perron, professeure, École des médias
  • Marie Langevin, professeure, Département de stratégie, responsabilité sociale et environnementale

– PAUSE –

3. Atelier

3.1 Explorer les pistes concrètes pour aller plus loin.

3.2 Plénière

4. Mot de clôture

  • Johanne Grenier, vice-rectrice à la Vie académique 

Détails de l’événements

Marie St-Arnaud a coordonné le projet de la communauté Pessamit : Mishta-Mishkutshipalu Tshishik : un atlas des changements climatiques dans le Nitassinan | 11 février 2025

La communauté de Pessamit a lancé l’atlas Mishta-Mishkutshipalu Tshishik, portant sur les changements climatiques dans le territoire ancestral du Nitassinan.

L’ouvrage est le fruit d’une collaboration entre Autochtones et allochtones où se mêlent les approches des savoirs scientifiques et traditionnels.

Une équipe de chercheurs de l’UQAM et plusieurs acteurs de la communauté de Pessamit, dont un comité d’aînés, ont participé au projet, coordonné par Marie St-Arnaud, professeure associée à l’Institut des sciences de l’UQAM et collaboratrice de longue date du Centr’ERE.

L’ouvrage se penche sur huit études de cas, dont le caribou, les feux de forêt et la graine rouge, qui ont été analysés sous quatre perspectives différentes, a expliqué Marie St-Arnaud, dans une entrevue réalisée par Paul Fontaine à Bonjour la Côte et résumée dans un article de Raphaëlle Laverdière.

Pour écouter l’entrevue

Pour lire l’article

Maia Morel participera à une table ronde virtuelle «Les arts pour connaître et comprendre le monde» | Mercredi 19 février 2025

Maia Morel, professeure à la Faculté d’Éducation de l’Université de Sherbrooke et chercheuse associée au Centr’ERE, participera à une table ronde virtuelle pour lancer le projet Nimba. Celui-ci est porté par l’artiste multidisciplinaire Aly Keita, directeur de la compagnie Kira Arts.

Au programme, une discussion autour de l’identité, de la mémoire, de l’environnement et du rôle clé des arts pour interroger et connecter ces thèmes.

La professeure Morel participera au deuxième bloc intitulé « Les arts pour connaître et comprendre le monde ».

Aux côtés de :

  • Ibrahima Sory Tounkara (Grand Tounk) – Comédien, professeur d’art dramatique à l’Institut Supérieur des Arts Mory Kanté [en présence]
  • Constanza Camelo – Professeure titulaire à l’Unité d’enseignement en arts de l’Université du Québec à Chicoutimi; membre chercheure: OMEC, CÉLAT et LabARD [en ligne]
  • Maia Morel – Professeure agrégée à la Faculté d’éducation de l’Université de Sherbrooke, cofondatrice du groupe de recherche Arts&ERE (arts et éducation relative à l’environnement) et membre associée du Centr’ERE (Centre de recherche en éducation et formation relatives à l’environnement et à l’écocitoyenneté) [en ligne]

Détails de l’événement

Blandine TCHAMOU, post-doctorante au Centr’ERE, animera une session à l’UPop sur la décolonisation de la gestion des déchets | dès le 25 février 2025

Blandine Tchamou animera une session à la programmation Hiver-Printemps 2025 de l’UPop Montréal, intitulée Décoloniser la gestion des déchets : ancrage historique et enjeux d’une didactique.

Description du cours
La question de la gestion des déchets est souvent l’entrée première de la prise en compte des préoccupations environnementales. Les déchets représentent aussi l’élément sur lequel tous les individus ont potentiellement du pouvoir et donc de l’impact sur l’amélioration de l’environnement. Malheureusement, à travers le monde, dans l’histoire et à l’heure actuelle, les institutions, le monde de la recherche, les municipalités, les groupes et les individus semblent tous adhérer à la seule vision et pratique industrielle de la gestion de nos matières résiduelles.

Notre cours vise à présenter les éléments historiques et factuels glanés à travers le monde et en particulier les pratiques montréalaises. L’objectif principal de ce cours qui est de décoloniser la perception uniquement gestionnaire des déchets. Nous discuterons de la nécessité d’une responsabilisation et d’une meilleure connaissance de la question des déchets par chaque individu et nous mettrons en lumière la nécessité d’engager des recherches pour une didactique de l’acquisition des compétences de gestion adéquate des déchets, préalables à l’objectif actuel d’économie circulaire.

Plan de la session

Un défi de l’urbanité et de la modernité
Mardi 25 février, à 19h, au Café les Oubliettes, 6201 Rue de Saint-Vallier, Montréal

Une problématique sociale et culturelle, non démocratique
Mardi 4 mars, à 19h, au Café les Oubliettes

Les freins institutionnels, sociaux et didactiques
Mardi 11 mars, à 19h, au Café les Oubliettes

Les bases universelles d’une didactique de la gestion des déchets ?
Mardi 18 mars, à 19h, au Café les Oubliettes

Pour en savoir plus sur la session : Décoloniser la gestion des déchets : ancrage historique et enjeux d’une didactique

Blandine Tchamou est actuellement post-doctorante au Centr’ERE de l’UQAM pour le compte de l’université de Corse en France. C’est une militante d’origine camerounaise qui a soutenu une thèse de doctorat en sciences de l’éducation au terme d’une enquête ethnographique menée dans son itinérance dans plusieurs régions et pays d’Europe et d’Afrique sur la question de l’éducation à la gestion des déchets. Elle s’interroge sur la persistance et la banalisation du littering qui sont les déchets sauvages diffus abandonnés dans l’espace public et identifiés dans le monde entier. Elle s’intéresse aux processus qui favorisent l’éducation dans tous les contextes.

Le Programme court de 2e cycle en ERE aux Journées de la recherche en éducation | 28 janvier 2025

L’équipe du Centr’ERE tiendra un kiosque dans le cadre des Journées de la Recherche en éducation 2025, organisées par la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université du Québec à Montréal.

Plusieurs activités sont prévues pour découvrir les multiples projets de recherche inspirants menés par les étudiantes et étudiants, le corps professoral et les regroupements de recherche en éducation.

Venez nous voir lors de cette 3e édition, le mardi 28 janvier 2025, à partir de 11h30, au rez-de-chaussée des pavillons Thérèse-Casgrain (W) et Paul-Gérin-Lajoie (N).

Plus de détails de l’événement et le programme

Nouvelle édition de la Stratégie québécoise en éducation relative à l’environnement: pour une écocitoyenneté | 6 janvier 2025

Joignez-vous au mouvement: adhérez à la Coalition Éducation Environnement Écocitoyenneté !

Récemment, la Coalition Éducation Environnement Écocitoyenneté a publié une nouvelle édition à sa proposition de politique publique en ERE intitulée Stratégie québécoise en éducation relative à l’environnement: pour une écocitoyenneté.

Celle-ci est le fruit d’un travail collectif regroupant 57 institutions et organisations.

Quelles sont les grandes lignes de la Stratégie québécoise en éducation relative à l’environnement: pour une écocitoyenneté?

La Stratégie poursuit essentiellement les objectifs suivants:

  1. Assurer l’intégration de l’ERE aux curriculums scolaires et aux pratiques d’éducation formelle impliquant notamment, la formation initiale et continue des personnels dans une perspective de déploiement de l’autonomie professionnelle;
  2. Mieux soutenir les initiatives du secteur non formel (parcs, musées, ONG, associations, bibliothèques, médias et autres) participant à l’effort éducatif auprès des différents publics, dans divers contextes;
  3. Favoriser le travail synergique et harmonieux entre ces différentes sphères d’action éducative de même qu’entre les ministères concernés et entre l’appareil gouvernemental et les différentes organisations du monde de l’éducation.

POUR EN SAVOIR PLUS, CLIQUEZ SUR CE LIEN:

https://www.coalition-education-environnement-ecocitoyennete.org/la-strategie

Parce que l’éducation est au fondement des transformations sociétales qui s’imposent,
rejoignez la Coalition !

Merci de nous soutenir!

La Coalition Éducation, Environnement, Écocitoyenneté

Appel à communications | Colloque Acfas – Les inquiétudes des jeunes à l’ère des enjeux environnementaux | Date limite : 13 janvier 2025

450 – Les inquiétudes des jeunes à l’ère des enjeux environnementaux

Sous la responsabilité de : Jocelyn Lachance, Institut Pierre Bourdieu et de Jean-Philippe Perreault, Université Laval

Présentation du colloque

Depuis plusieurs années, la question des effets délétères engendrés par les discours sur l’environnement, en particulier chez les plus jeunes, fait l’objet de nombreuses analyses, issues de différents champs disciplinaires. Pour le philosophe australien de l’environnement Glenn Albrecht, « la solastalgie est la douleur ou la maladie causée par la perte ou le manque de réconfort et le sentiment d’isolement liés à l’état actuel de son lieu de vie (home) et de son territoire » (2005 : 46). Certains auteurs parlent même de « deuil écologique » pour désigner la nécessité de composer avec la disparition d’espèces vivantes, mais aussi pour nommer la perte de connaissance sur l’environnement, les problèmes économiques engendrés ainsi que le délitement du lien social qui les accompagne (Cunsolo & Ellis, 2018). En un mot, la transformation de l’environnement et de la biodiversité n’affecte pas que le vivant non-humain. Elle engendre différentes formes de souffrances chez des individus, souvent nostalgiques d’une époque révolue, parfois fantasmée. Ainsi le terme d’éco-anxiété est aussi avancé par certains chercheurs pour nommer la « peur chronique du désastre environnemental » (Clayton et al., 2017 : 68) ou encore pour désigner « les appréhensions et le stress découlant des menaces anticipées qui pèsent sur l’écosystème » (Cunsolo et al, 2020 : 261). Or de nombreuses recherches montrent que les jeunes générations seraient particulièrement touchées par ces inquiétudes (Wu et al., 2020 ; Baker et al., 2021 ; Ojala, 2012).

Notre colloque a pour objectif d’interroger le rôle de la recherche pour mieux saisir les inquiétudes des jeunes dans le contexte du réchauffement climatique, tout en s’intéressant aux différentes modalités d’accompagnement  des jeunes publics avec ce type de souffrances. Cela implique aussi de questionner l’ensemble des inquiétudes des jeunes générations pour comprendre la place occupée par celle en lien avec les enjeux environnementaux.


Appel à communications

Ce n’est pas un hasard si des spécialistes de l’éco-anxiété comme Panu Pihkala considèrent que l’analyse des modalités de formation de l’identité constitue une voie prometteuse pour mieux comprendre les impacts du haut potentiel anxiogène de la crise environnementale sur les plus jeunes (Pihkala, 2020) : d’une part, elle traduirait chez des jeunes se sentant impuissant l’incapacité à être dans un monde marqué par l’annonce de catastrophes environnementales par la communauté scientifique, d’autre part, elle mènerait d’autres jeunes à s’engager dans le domaine de l’environnement pour contrer les effets de la menace qui plane sur eux, au risque du sentiment d’insuffisance. Sentiment d’impuissance et sentiment d’insuffisance indiquent alors que derrière l’appellation générique actuelle de l’éco-anxiété se cache probablement une pluralité de conséquences chez les jeunes confrontés à la peur de l’avenir à l’heure des enjeux environnementaux. Dans le cadre de notre colloque, c’est cette pluralité et cette complexité qui nous semblent important d’appréhender afin de mieux mesurer les effets de ce contexte global caractérisé par son haut potentiel anxiogène sur les jeunes, en posant au moins quatre questions :

  1. L’éco-anxiété est un phénomène observable à l’échelle mondiale chez les jeunes, mais il reste difficile à ce jour d’en mesurer l’ampleur chez cette population, de définir si les jeunes se distingue vraiment de l’ensemble de la population à ce sujet et surtout de vérifier s’il existe dans facteurs sociodémographiques favorables à son déploiement. Ainsi pouvons-nous poser les questions suivantes : Quel pourcentage de jeunes sont concernés par l’éco-anxiété ? Les jeunes sont-ils effectivement concernés davantage que les adultes par l’éco-anxiété ? Existe-t-il des facteurs sociodémographiques favorables à son déploiement ?
  2. Nous savons que l’éco-anxiété entraine des conséquences sur la santé mentale des jeunes, mais nous ne connaissons pas bien les contextes sociaux qui sont favorables à son déploiement, ou, au contraire, qui permettent aux individus de contrer ses effets. Des études indiquent déjà que les populations confrontées aux effets du réchauffement climatique dans leur quotidien sont plus enclines que d’autres à développer de l’éco-anxiété (Clayton et al., 2017). Mais nous aimerions préciser quels sont les contextes quotidiens qui sont favorables à leur déploiement pour des populations qui habitent un même territoire et qui sont donc confrontés à des effets semblables du réchauffement climatique dans leur quotidien. Existe-t-il des milieux sociaux, familiaux et scolaires propices au déploiement de l’éco-anxiété chez les jeunes ? 
  3. Il s’agit aussi d’accorder une place à l’étude des contextes de réception de l’information, fortement marquée chez les jeunes par l’usage d’internet et en particulier des réseaux sociaux. L’éco-anxiété étant intimement liée à la difficulté de s’approprier des informations à haut potentiel anxiogène, il nous semble tout aussi important d’analyser le rôle d’internet dans la propagation de ces informations. Quels rôles jouent internet et en particulier les réseaux sociaux dans le déploiement de l’éco-anxiété ?
  4. La souffrance caractéristique de l’éco-anxiété ne touche pas seulement les jeunes n’arrivant pas à agir dans un contexte à fort potentiel anxiogène, mais aussi, elle semble concerner des jeunes qui s’engagent dans la lutte contre le réchauffement climatique et la dégradation de la biodiversité. Analyser le rôle de l’éco-anxiété chez ces jeunes engagés, c’est à la fois vérifier si leur action permet d’en enrayer totalement les effets et de mieux comprendre éventuellement les stratégies efficaces pour les atténuer. En d’autres termes, nous pensons qu’il peut être utile de questionner plus particulièrement le cas de ces jeunes afin d’en approfondir l’exemple. Quel rôle joue la peur chronique dans l’effondrement des sociétés dans le parcours de jeunes qui s’engagent dans le domaine de l’environnement ? Les effets de l’eco-anxiété persistent-ils malgré cet engagement ? Existe-t-il des stratégies chez ces jeunes pour en atténuer les effets ?

Les propositions de communications qui permettront d’amener des éléments de réponses à une ou plusieurs de ces questions seront les bienvenues. Des propositions provenant de doctorants et doctorantes sont également attendues. Les professionnels des domaines de l’éducation à l’environnement et de l’intervention social sont aussi invités à proposer une communication.

Il est à noter que le colloque se déroulera à la fois en présentiel et en ligne.

Pour proposer une communication :

Merci de nous transmettre :

  • Un titre ;
  • Le nom de l’auteur ou des auteurs ainsi que leur statut, leur affiliation institutionnelle et leur courriel
  • Un résumé de la communication (1200 signes espaces compris maximum)
  • Et de précisez vous compter participer au colloque en présentiel ou en ligne.

ATTENTION : les participants au colloque, y compris les intervenants (en présentiel et en ligne), devront s’acquitter des frais d’inscription.

Les propositions de communication devront parvenir au plus tard le 13 janvier 2025 à l’adresse suivante : jocelynlachance@yahoo.fr. 

Calendrier prévisionnel :

14 janvier 2025 : date limite d’envoi des propositions.

24 janvier 2025 : réponses d’acceptation ou de refus aux auteurs

30 janvier 2025 : date limite de confirmation des auteurs au colloque

20 février 2025 : diffusion du programme

31 mars 2025 : date limite d’inscription au colloque

8 mai 2025 : déroulement du colloque

Organisateurs :

Jocelyn Lachance (Information)

Jean-Philippe Perreault (Information)